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Danse

Je t’aime à la folie

Aimer comme on peut détester à la folie : François Lamargot, dans ce spectacle, s’amuse de l’ambiguïté des sentiments humains.

Parmi les différents degrés de la puissance des sentiments, François Lamargot a retenu le si particulier « à la folie ».

Celui qui symbolise le sentiment amoureux dans ce qu’il y a de plus noble, et aussi de plus extrême, à la limite du raisonnable. Ardent, irraisonné, passionné, tout simplement fou : il est une métaphore des sentiments humains.

Entre danse, théâtre et vidéo, le chorégraphe aborde la perte du sensible chez l’être humain au profit de la destruction collective. Fable festive, drôlement frénétique, Je t’aime à la folie réunit sept danseurs animés par des pulsions hip-hop et contemporaines.

 

Chorégraphie & mise en scène : François Lamargot ; Interprétation : Alexandre Gastoud, Anaïs André, Joël Elisée Konan, Oscar Lassus dit Layus, Cassilda Marcoulet, Anabella Pirosento, Erwan Tallonneau ; Costumes & aide à la direction d’acteurs : Maryse Poulhe ; Conception vidéo & mapping : Claudio Cavallari ; Création lumière : Allan Hové ; Scénographie: Benjamin Lebreton

 

Extrait

Ils l'ont vu, ils en parlent

  • Jo dit :

    A ne pas manquer. Se laisser porter par les émotions c est tout

  • Yves RIFFARD dit :

    Je sors de ce spectacle. Je n’ai pu rester au bord de plateau pour diverses raisons, mais j’aurais aimé y assister pour savoir si les applaudissements étaient de pure politesse ou si certains avaient compris quelque chose et au moins le lien avec le titre et le thème !
    A part un peu de musique baroque (Vivaldi ou Purcell ?), spectacle …monotone et pesant.
    Et même pas de danse (sauf un peu de hip hop par 1 seul acteur), mais des gesticulations, agrémentées de cris et hurlements.
    J’avais cru comprendre de la présentation qu’il y aurait deux parties se répondant, que nenni, une heure de …. bruit et de fureur !
    Elucubration pour intellectuel parisien (se disant) de goooche, qui fait semblant de comprendre pour se persuader qu’il est plus class que ces ploucs de province ??
    Le « truc » des miroirs/écran ne saurait suffire à en faire un spectacle !
    Bon, il en faut pour tous les goûts, cela permet de mieux apprécier d’autres spectacles !
    Mais en résumé, je déteste…à la folie !
    Amicalement… quand même !

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